Ce que j'en pense :

Voici un nouveau roman poilicier très facile à lire. C'est l'histoire de Sarah Fisher, une jeune adolescente morte tragiquement alors qu'elle se promenait au bord d'une falaise. Mais ce décès ne serait-il pas un meurtre ? Et si c'était le cas, qui en serait le coupable et pour quel mobile ? Qui pourrait en vouloir à une orpheline de 13 ans ? De toute façon, personne ne s'inquiète de sa mort, considérée comme accidentelle. Mais le fantôme de Sarah, lui, tient à connaître la vérité. Alors Sarah va devenir une revenante pour résoudre cette énigme et enfin savoir ce qu'il s'est réellement passé ce jour-là. Mais elle ne va pas découvrir que le contexte de sa mort, elle va se lier d'amitié avec une adolescente.

L'originalité de l'histoire, selon moi, tient au fait que c'est un fantôme qui mène l'enquête sur sa propre mort. Une histoire simple à lire qui plaira sûrement aux jeunes lecteurs.

Les premières lignes pour vous donner envie :

"Sarah Fisher battit plusieurs fois des paupières avant de parvenir à ouvrir les yeux, puis elle regarda autour d'elle, désorientée. La porte en bois grossier, la terre battue couverte de paille, les poutres envahies par les toiles d'araignée... Elle connaissait cet endroit, c'était... Oui, c'était la bergerie où le vieux Stanford abritait ses moutons lorsque les nuits étaient trop froides. Sarah n'avait aucune raison de se trouver là, en plein champ, loin de tout.
Elle se leva et constata avec stupéfaction qu'elle portait d'autres habits que les siens. Elle était vêtue d'une robe blancje et soyeuse, brodée de marguerites au coeur jaune pâle. De délicats boutons nacrés fermaient le corsage."

Et vous, qu'en pensez-vous ?

 

Ce que j'en pense :

Ce roman est une invitation au dépaysement car le lecteur suit une jeune bretonne, nommée Dora, dans un voyage en Inde. Rapidement, se mêlent les mystères de ce pays, le choc culturel entre deux mondes, deux sociétés aux traditions et aux coutumes incomparables. Dora emmène le lecteur dans les senteurs, les usages, les splendeurs et aussi la misère de l'Inde. Le personnage est en quelque sorte ennivrée par de tels changements, étourdie par le bouleversement de ses conceptions du monde. Dora va découvrir la vie en Inde, mais une intrigue va se nouer au cours de son séjour, une intrigue entre réalisme et merveilleux.

Un bel ouvrage pour des lecteurs toutefois assez affirmés car le vocabulaire tamoul peut parfois être compliqué à suivre.

Les premières lignes pour vous donner envie :

"- Ecoute, ça lui fera quinze jours d'absence, ce n'est pas tout de même la fin du monde. Elle a manqué plus longtemps que ça, quand elle a eu la scarlatine !
- Peut-être, mais elle avait une raison valable.
La voix de Max monta d'un cran :
- Un voyage en Inde, ce n'est pas une raison valable, d'après toi ? Je ne te reconnais plus, Mathide.
Un silence suivit ces paroles, et Dora, l'oreille collée à la porte, pressa les mains sur sa pointrine.
L'Inde... Elle revit la petite fille en panjabi rouge scotchée au mur de sa chambre, à Kerivin. Ce regard profond comme les millénaires, cette natte couleur de nuit... Oh, maman, dis oui !"

Et vous, qu'en pensez-vous ?

Ce que j'en pense :

Pour poursuivre cette page, voici un roman très facile à lire. C'est l'histoire de Barry, un jeune adolescent américain qui va tous les jours au collège, qui a peu d'amis et qui collectionne les chapeaux. Barry est souvent à l'écart des autres dont il ne comprend pas toujours les jeux ou les habitudes. Pour être reconnu socialement, il a toujours fonctionné de la même façon : raconter des blagues pour susciter la réaction des autres (camarades, famille...). Son rêve est de devenir un comique célèbre. Un jour, dans son collège, il découvre qu'un concours de talents est organisé pour la kermesse dans quelques semaines. Bien sûr, Barry s'y inscrit : il va travailler dur sur sa prestation, et va apprendre beaucoup sur lui-même et sur les autres.

Le roman a un nombre de pages conséquent, mais la lecture est facile et le style très simple.

Les premières lignes pour vous donner envie :

"Cette histoire commence avec un sourire.
Un sourire idiot sur une tête d'idiot.
Etait-ce le sourire qui donnait à la tête cet air idiot ou la tête qui donnait son air idiot au sourire ? C'était difficile à dire car l'un allait rarement sans l'autre.
Ce sourire appartenait à la tête de Barry Boone, élève de 6° au collège Floyd Hicks. Tout le collège ou presque le trouvait idiot. On l'appelait "Baboon" en le regardant bien en face, et Barry continuait de sourire.
- Tu sais que t'es stupide, Baboon ? lui dit Paul Wurstemberg un matin.
- Ben, en fait, je ne savais pas, fit Baboon.
Et il éclata de rire.
C'est lui qui avait inventé ce nom. Le jour de la rentrée, son prof de maths, Miss Longajey, lui avait demander de se présenter ; il avait répondu : "Baboon".
- Pardon ?
- C'est simple, je m'appelle Barry Boone, avait expliqué Barry. Alors vous prenez la première syllabe de mon prénom et celle de mon nom, et ça fait "Baboon". Ha ha !"

Et vous, qu'en pensez-vous ?

Ce que j'en pense :

Cette page de Mon Coin Lecture se poursuit par un récit à la fois fictif et réel. En effet, l'auteur a choisi de raconter l'histoire vraie du dernier été de Vincent Van Gogh sous la forme d'un journal intime. Ce dernier est celui d'Adeline, la fille des aubergistes d'Auvert chez qui loge le peintre. Le lecteur découvre l'écriture d'une jeune fille de 13 ans avec ses sentiments et ses états d'âme. Bien qu'elle n'est pas de connaissance en art, la jeune narratrice nous livre son regard sur le travail de Vincent Van Gogh avec des références précises sur son travail artistique.

Dans ce roman le lecteur peut ainsi découvrir les derniers jours de la vie de Vincent Van Gogh, mais aussi ses peintures par des descriptions assez précises. Un beau roman pour les jeunes lecteurs.

Les premières lignes pour vous donner envie :

"Vendredi 16 mai 1890
C'est décidé, je mettrai ma robe blanche à pois bleus et un ruban assorti dans mes cheveux, le beau en, soie que mamé m'a donné. J'avais d'abord pensé me faire un chignon, mais je crains qu'il ne se défasse et je n'ai pas envie de me retrouver tout échevelée. J'ai tellement hâte !
Je crois que j'ai pensé à tout. Après le dîner, j'irai comme tous les soirs dans ma chambre, mais au lieu de me coucher et je sortirai sans faire de bruit par la petite porte de derrière. Il a dit qu'il m'attendrait dehors.
Comme je suis heureuse ! Mon coeur bondit dans ma poitrine comme s'il voulait s'en échapper. Mon premier bal ! Vivement demain !"

Et vous, qu'en pensez-vous ?

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